dimanche 30 janvier 2011

C'est bon signe, non ?

Je sais que rien n'est signé encore et que tant que je n'ai pas de contrat rien n'est sûr, mais voici la réponse de la dame des RH à la lettre de recommandation envoyée par mon patron :

Bonjour VP,

Merci beaucoup pour vos commentaires. Nous avons définitivement eu le même sentiment par rapport à Dernière minute et sommes juste en train de trouver quelle position nous aimerions lui proposer, comme nous sentons qu'elle serait un bon atout à notre équipe - c'est bien de savoir que nous avions raison !

Je lui laisserai bien sur savoir que "nom de la compagnie pour laquelle je travaille présentement" aimerait qu'elle revienne n'importe quand dans le futur - je suis certaine qu'elle serait très flattée de le savoir !
 
Bien à vous,

RH

Je sais que je vais être déçue si ça ne fonctionne pas, mais pour le moment, je me croise les doigts et j'espère fort que ça marche !

C'est pas ma faute !

Dans la vie, mes défauts, je les reconnais et je les assume sans problème. Je sais que je suis baveuse. Je sais que je suis obstineuse. Je sais que je suis impatiente. Je sais que j'ai souvent la larme facile. Je sais que je peux être pas mal Germaine. Je sais que je suis toujours à la dernière minute. Bref, vous voyez le topo.

Au final, j'aime à penser que mes défauts me rendent tout de même un brin attachante...

Mais j'avoue que pour chacun de mes défauts, j'ai une excuse : 

Je suis baveuse ? Pas ma faute, c'est dans les gènes de mon père !
Je suis obstineuse ? Gènes de ma mère.
Je suis impatiente ? Mon grand-père maternel l'était lui aussi.
Je pleure pour rien ? Gènes italiens de ma grand-mère maternelle.
Je suis Germaine ? Pas ma faute non plus, je descends d'une longue lignée de Germaine, qui commence avec ma grand-mère, ma mère et qui se poursuit comme de raison avec moi.

Je mets tout (en blague plus qu'autre chose, évidemment) sur la faute de la génétique ! Un peu facile, je sais...

Mais aujourd'hui, je suis allée voir ma grand-mère maternelle quelques minutes chez elle. Je lui racontais mon anecdote de renouvellement de passeport en riant de voir que j'étais SI a la dernière minute. Elle me dit en souriant : "Moi aussi j'ai toujours été comme ça. J'aurais aimé te donner un autre côté de ma personnalité par exemple !"

QUOI ? ! ? Ça aussi c'est dans mes gènes ? Le gène de la dernière minute existe ? ! ?

Mon père est toujours à l'heure. Mes histoires comme celles du passeport le font enrager, je le sais. Ma mère est une femme HYPER organisée de nature, même si elle rit de me voir toujours dans des situations comme ça. Alors je croyais que pour ce défaut la, je n'avais pas vraiment d'excuse...

AH BEN NON ! ! 
Je suis à la dernière minute ? PAS MA FAUTE NON PLUS MAINTENANT ! C'est le gène qui me vient de ma grand-mère, qui a sauté une génération ! 

jeudi 27 janvier 2011

Je pourrais...

Je pourrais raconter les dernières choses que j'ai appris a propos de M. Eiffel.
Mais tsé, dans la vie, quand quelque chose te dégoute tant que t'en as physiquement mal au cœur ? T'as pas trop le goût d'en parler.

Je pourrais raconter que j'ai donné ma démission hier a mon patron.
Mais je sais que je l'ai fait pour les mauvaises raison, pour le fuir (M. Eiffel, pas mon patron évidemment) alors j'ai pas trop envie de m'aventurer sur le sujet tout de suite.

Je pourrais raconter que depuis quelques semaines, je dois prendre des Gravols pour être capable de m'endormir le soir.
Mais c'est pas super glorieux, donc passons.

Je pourrais raconter que j'ai passé une entrevue pour la job PARFAITE lundi.
Mais comme j'attends encore des nouvelles, j'ai peur que si j'en parle, ça ne marchera pas.

Alors on écrit quoi quand on a besoin d'écrire mais qu'on ne sait pas quoi raconter ?

Et bien j'ai trouvé : voici la lettre de recommandation que mon patron a envoyé à la RH de la compagnie avec laquelle j'ai eu mon entrevue :
Bonjour Mme RH,

Dernière minute m'a donné sa démission hier pour des raisons personnelles.

Elle m'a fait part de son intention de partir pour "nom de la ville" et de travailler pour "nom de la compagnie où j'ai postulé".

Je voudrais simplement prendre quelques secondes de votre temps et recommander Dernière minute pour le poste pour lequel elle a postulé.

J'ai rarement eu la chance de rencontrer quelqu'un avec autant de potentiel durant ma carrière.
Je la recommanderais n'importe quand à n'importe qui.

Elle est responsable, très intelligente, a une incroyable facilité à communiquer avec les gens, est minutieuse, a une bonne compréhension des échéanciers et de la structure de production, ne laisse aucun problème non résolu derrière elle et fait des suivis journaliers impeccables.
Elle a aussi gagné la confiance de ses supérieurs du coté de la production sur tous les projets sur lesquels elle a été impliquée durant le temps qu'elle a été a "nom de la compagnie pour laquelle je travaille".

Bref... C'est très difficile pour nous de la voir partir mais nous savons qu'elle sera capable de continuer son cheminement professionnel au sein de votre organisation.

Merci de votre temps Mme RH
Espérons que tout fonctionne !

En passant. Si vous entendez dire qu'elle veut retourner à "nom de la ville où je travaille actuellement" à un certain moment donné... Svp dites un bon mot pour "nom de la compagnie pour laquelle je travaille" ;-)

Merci encore pour votre temps

VP

mardi 25 janvier 2011

Pourquoi...

Pourquoi est-ce que quand j'ai enfin l'impression de faire un pas en avant faut toujours que j'en refasse 3 en arrière la minute suivante ?

Ça me tanne, c'est fou...

Ça fait un mois là. Criss, get over it Dernière minute !

lundi 17 janvier 2011

T'es vraiment a la dernière minute quand... (2)

... ton passeport est expiré depuis le 17 janvier 2010, et que tu as eu 1 année complète pour le renouveler.

Mais évidemment, qu'est ce que tu fais le 17 janvier 2011 ? Tu prends ton après-midi off, tu vas te faire prendre en photo, et va attendre ta vie au bureau de Passeport Canada le plus près...

Mais techniquement, je suis pas si dernière minute, j'ai jusqu'à minuit ce soir pour le faire...

Laissez-moi vivre dans mon déni svp...

samedi 8 janvier 2011

J'aurais donc du...

... texter Miss P avant de rentrer ce soir...

Disons que... Miss P... et M. Frite...

Ben j'pense que je les ai dérangés...

Au moins j'ai rien vu...

J'espère juste que Mlle B (mon chat) a rien vu elle non plus... Des plans pour que ça lui revienne à l'esprit dans quelques années pis que ça me coûte des centaines de dollars en psychologue félin...

Hey boy...

jeudi 6 janvier 2011

Dans mon déni...

Dans mon déni, je n'évite pas son regard quand on se croise
Dans mon déni, il n'y a pas de silence entre nous deux
Dans mon déni, il n'y a pas de malaise quand nous sommes tous les deux dans la même pièce
Dans mon déni, je n'ai pas envie de le faire sourire
Dans mon déni, je n'ai pas envie de le faire rire
Dans mon déni, il ne me manque pas
Dans mon déni, je n'ai pas envie qu'il me touche
Dans mon déni, je n'ai pas envie qu'il me prenne dans ses bras
Dans mon déni, en silence, je n'espère plus rien de lui

Dans mon déni, il trouve ça plus difficile que moi

Dans mon déni Miss P croit que je vais bien

Dans mon déni, mon cœur n'a pas mal

Ca se fait, déménager dans son déni ?

lundi 3 janvier 2011

Bilan 2010

2010... Un grosse année je crois, avec le recul encore plus que j'aurais pensé...
C'est certain qu'ici il y a des choses que j'ai oublié, mais c'est le principal.

Janvier :
Je recommence a travailler le sourire au lèvres après mes vacances de Noël. Beaucoup de travail, a ce moment je suis encore assistante dans la boîte. J'attendais des nouvelles de mon patron pour une possible promotion, que j'ai eu a la fin du mois. Coté famille tout allait bien, cote amour aussi. Je travaillais encore les fins de semaine. Et c'est en janvier que j'ai acheté ma première voiture neuve (que j'adore encore aujourd'hui). Vers la fin du mois j'apprends aussi que je suis accusée de délit de fuite matériel (constat d'infraction d'environ 300$ + 9 points qui me pendent au nez) Honnêtement, je n'ai jamais été aussi stressée de toute ma vie. Se faire lire ses droits par un policier (aussi mignon soit-il) avant de se faire interroger... pire expérience de vie. J'ai passé l'année 2010 super stressée, en grande partie à cause de cette accusation.

Février :
Je commence dans mon nouveau poste de coordonatrice... et j'adore ! Autant je trouve ça difficile, je suis super motivée. J'ai tout à prouver, alors je commence à me donner à fond... Mes semaines de 70-80 heures commencent alors... Mais ça me va. N'ayant pas vraiment de maison, mon copain étant loin, la boîte est un peu devenue ma maison, ma famille. Et ça m'allait très bien. C'est aussi à ce moment que j'ai été en voyage avec M. Geek, voyage que j'avais gagné vers la fin de 2009. Direction les Jeux Olympiques de Vancouver (là ou j'ai eu le coup de foudre pour la ville, depuis ce temps je rêve d'y retourner). On a passé une belle fin de semaine, en amoureux, comme ça nous arrivait trop rarement.

Mars :
Travail travail travail ! Je n'ai pas de souvenir particulier de ce mois. Je travaille encore les weekend, je crois que je n'étais pas encore trop fatiguée de mes deux emplois.

Avril :
Euh... travail travail travail (bis) ? Je finis de payer ma voiture, une grande réussite pour moi, j'en étais super fière. Côté coeur, M. Geek et moi prenons la décision commune de nous séparer... On s'était pris pour acquis, et l'amour était moins fort je crois. Je me souviens de la discussion, que j'avais amorcé. Et on a pris la décision d'arrêter. Je me souviens très bien du lendemain matin... Même si c'était ce que je voulais, j'étais démolie. Quelques jours plus tard je demandais à M. Geek qu'on se donne une deuxième chance... et il refusait. Selon lui, avec la distance qui nous séparait, ça ne servait à rien. J'acceptais sa décision, mais avec beaucoup de colère, honnêtement. Je lui en voulais, selon moi une relation de 5 ans, ça méritait une deuxième chance. Finalement, après quelques jours il a finalement changé d'idée. On s'était dit qu'on allait essayer plus fort, ce qu'on a fait :)

Mai :
Au travail, je crois que je commence à sentir la fatigue accumulée, mais j'aime toujours autant ça. Par contre le weekend, j'ai de plus en plus de difficulté à récupérer, puisque je travaille aussi. Je me souviens des migraines que j'ai chaque samedi et dimanche... Mon corps me parle, et comme de raison, je refuse de l'écouter ! Et je rends visite à M. Geek, je lui fait la surprise. Je me souviens qu'on avait passé de beaux moments.

Juin :
Je suis épuiséee... et mon patron le voit bien. Il m'offre de prendre une semaine de vacances, que j'accepte. Je me souviens être partie en sachant que la personne qui allait me remplacer (ma supérieure immédiate) allait... comment dire... en chier. Pendant mon congé c'était bien, je suis allée voir M. Geek pour la semaine. Et puis je suis revenue travailler le vendredi, c'était la merde au bureau. Je me souviens de mon patron qui me prend dans ses bras a mon retour. J'avoue, c'était bon pour l'égo. Mauvais pour le reste, mais super pour l'égo. À la fin du mois je demande une augmentation, je n'en peux plus. Je l'obtiens, et ça me permet (enfin) de donner ma démission à mon emploi de fin de semaine.

Juillet :
Je finis mon premier projet en tant que coordo ! J'en commence un nouveau la semaine d'après, après quelques jours de congé. Et je commence à avoir ce que je n'avais pas eu depuis mes 16 ans : mes fins de semaines de congé. Un mot. M-A-G-I-Q-U-E.

Août :
Tout le monde commence à tomber en vacances au bureau... et les miennes sont à la fin du mois. Au début ça va, mais la dernière semaine... j'en peux officiellement plus. Il est temps que mon tour arrive. Je cours partout, comme une poule pas de tête, je prends tout en charge. Je pense que c'est à ce moment que je commence à en avoir marre des heures supplémentaires.

Septembre :
Après 2 supers semaines de vacances avec M. Geek, je retourne au bureau avec le sourire... et déchante en quelques heures à peine. Je frappe un mur. J'ai l'impression que rien n'a été fait pendant mon absence, je reviens dans un bordel le plus total, j'en veux aux gens qui n'ont pas assuré pendant que j'étais pas là. Je suis malheureuse, je n'en vois pas le bout. Ça se règle en partie quand je "bump" en bon québécois la chargée de projet. Je reprends un peu le contrôle du projet, on échange nos responsabilités, et je recommence un peu à respirer. C'est toujours aussi difficile, mais au moins j'ai la responsabilité de prendre les décisions, alors je n'ai plus à attendre (en vain) que les autres le fassent, c'est déjà ça...

Octobre :
Beaucoup de travail, de stress, et peu d'heures de sommeil. C'est ce dont je me souviens de mon mois d'octobre. Je me souviens aussi avoir commencé à profiter de mes weekends pour sortir, décompresser avec des amis... et de nature pas trop "sorteuse", je dois avouer que ça fait franchement du bien. Je vieillis d'une année, et je rencontre mes patrons pour une mise au point, parce que je n'en peux plus, j'ai besoin d'aide au travail. Je parle de mon poste (ils disent me considérer déjà comme chargée de projet, mais je veux le poste officiel), je demande une augmentation, je parle de mes heures en banque, etc...

Novembre :
Début du mois M. Geek prend la décision de me laisser. J'ai de la peine, beaucoup, mais contrairement à la dernière fois, je ne lui en veux aucunement. Je n'éprouve aucun sentiment de colère envers lui. Quelques jours plus tard, il me dit qu'il a fait une erreur, qu'il aimerait qu'on recommence... Mais moi, je refuse. Notre deuxième chance, on se l'est déjà donnée. Et même si je l'aime encore, un couple, ça ne doit pas être aussi fragile selon moi. Alors je commence à déplanifier ma vie. J'arrête mon processus d'achat de maison (j'allais déposer une offre d'achat dans les jours à venir). Je commence à aviser mes proches de notre séparation, ça devient de plus en plus concret. Je commence à mal dormir à ce moment-ci je crois.

On finit une 95% du projet pour la fin du mois, alors beaucoup de travail, comme d'habitude. Je passe en cours municipale pour mon accusation de délit de fuite, et je suis acquittée. Je me souviens de la sensation de "Oh mon Dieu je viens de perdre 100 livres de pression" et de mes épaules qui s'abaissent quand le verdict est tombé.

Je commence à fréquenter M. Eiffel à la fin du mois. Il me fait énormément de bien. Il est si attentionné, il me rend heureuse, honnêtement. Je me souviens avoir si bien dormi dans ses bras la première nuit ou j'ai été chez lui... je n'ai pas bougé, pas tourné, ne me suis pas réveillée en sursaut. Ça m'a fait un bien fou.

Décembre :
Je passe à un autre projet, vraiment moins gros que le dernier. Comme des vacances, mais en plus reposant (c'est ce que je m'amuse à dire à tout le monde). Je reparle à mes patrons de mes demandes, et presque tout est accepté, sauf le cas des heures en banques... et c'est à ce moment que je prends la décision de commencer à envoyer des CVs ailleurs. J'aime toujours la boîte, mais je me dis que je suis peut-être mieux de partir avant de commencer à les haïr justement...

Avec M. Eiffel ça se corse. Quelques problèmes pèsent au dessus de nos têtes, et je le sens qui commence à s'éloigner sans m'en parler. Et ça, ça me tue. Alors je lui demande de choisir : si c'est pour mal se terminer, aussi bien arrêter tout de suite. Et c'est ce qu'il choisit. Alors là, honnêtement, peine d'amour, mais une vraie. J'ai tant de peine. 2 peines d'amour en 2 mois, honnêtement, mon coeur le gère pas. Accumulé à la fatigue, au stress, aux migraines, aux insomnies des derniers mois... c'est juste trop là. J'ai envie de rien faire. J'ai envie de pleurer. La première semaine, j'arrive mal à cacher ma peine. Je vois le moins de gens possible. Je lui en veux, je m'en veux aussi. D'être tombée tête première si rapidement. De l'avoir aimé trop rapidement. De lui avoir fait confiance trop rapidement. Je me sens nulle, stupide, comme toutes celles que j'ai toujours jugé...

Je passe le 31 décembre dans ses bras, à mal dormir parce que j'ai la tête trop pleine, qui tourne tellement je suis énervée. Je suis bien avec lui, mais j'ai trop de peine. Je suis jalouse, je crois qu'il a rencontré quelqu'un d'autre et qu'il refuse de me le dire. Je n'aime pas ce que je deviens. Je pars chez moi le 1er janvier au midi et pleure toutes les larmes de mon corps. Je n'en peux plus... Je dois me détacher... Alors je me fais la promesse que ce sont les dernières que je verse pour au moins le mois de janvier. Alors pour retrouver le sourire, je commence par le fainter. C'est déjà ça... Alors quand les larmes me montent aux yeux... je souris. Ça a l'air con, mais pour moi ça fonctionne :)

Alors voilà ou j'en suis. J'ai mal, mais j'ai retrouvé là force de faire semblant que tout va bien, au moins. Je me dis que c'est un pas dans la bonne direction. Je sais qu'un matin, je vais me lever en souriant et que ce ne sera pas forcé.

Et puis je viens tout juste d'emménager avec Miss P dans notre nouvel appart pour les 7 prochains mois. On prendra soin l'une de l'autre, je le sais. Elle ose pas encore, mais je sais qu'elle me fera parler quand je serai prête. Et j'imagine que ça me fera du bien, quand le temps sera venu.

Et au final, je me dis que 2011 peut pas être pire que 2010 pour le moment...

samedi 1 janvier 2011

Thank God...

... 2010 is finally over !

Je ferai un bilan de mon année plus tard, si le coeur m'en dit.

Pour le moment, objectif 2011 : plus de larmes. J'en peux officiellement plus. Au moins pour janvier... Plus une seule larme. J'en fait ma résolution.


Alors party de famille ce soir. J'ai de la peine, j'en ai pas envie. Mais bon, il faut que je commence à avancer. Alors première étape avant de retrouver le sourire, c'est de le faker.

Donc !
Just put my pretty convincing brave face on.

Faisait trop longtemps à mon gout que je l'avais pas vu :)