Des fois, je me dis que si Fabienne Larouche a pu se taper plus de 10 ans d'écriture de Virginie avec si peu de contenu, on pourrait bien se taper 1 an de Tout sur moi avec ma soirée de ce soir...
T'sais quand le destin te parle mais que tu veux juste PAS l'écouter...
Protagonistes de l'histoire :
Mme. Dernière Minute (elle-même en personne)
M. Kiff (un ancien collègue de travail)
M. Champion (un ami de Cegep)
M. Frite (un collègue de travail, Belge de sa citoyenneté (d'ou le surnom))
M. Eiffel (Évidemment, parce que sinon ma vie serait TELLEMENT moins palpitante ces temps-ci...)
Premièrement, je me scédule (comme dirait ma grand-mère maternelle) un petit pot masson avec un vieil ami à la distillerie sur Ontario (M. Kiff).
Comme j'ai été magasiner sur Sainte-Catherine cet après-midi avec M. Frite, je l'invite pour un petit pot masson avec moi ce soir. Comme M. Champion connait aussi M. Kiff, je l'invite aussi. Comme M. Eiffel me manque et que plus on est de fous, plus on rit, je l'invite aussi.
Première erreur, j'aurais du me douter que ça ne pouvait pas bien finir :
M. Kiff veut aller prendre un verre a 20h30 (Honnêtement, sauf mes parents, y'as-tu vraiment quelqu'un qui sort prendre un verre à une si bonne heure un jeudi soir ?). Comme il doit aller chercher sa blonde à l'aéroport à 22h00, je comprends et acquiesce à sa demande (folle de même la fille)...
Donc vers 19h00 je Facebook M. Frite (N.B. que M. Frite n'a pas encore un cellulaire fonctionnel qui ne lui coute pas 150 euros par mois d'interrurbains pour que je puisse le texter) pour lui dire de se pointer chez moi vers 19h30/19h45 afin qu'on prenne le métro ensemble pour y aller. Il me répond qu'il arrivera vers 20h00.
20h10, il m'envoie un message me demandant "M'attends tu toujours ? Je ne sais pas, donc du coup je bouge". Je lui répond que je l'attends toujours, mais 10 minutes plus tard, comme il n'est toujours pas arrivé chez moi (et il n'habite qu'à une station de métro de chez moi et est habituellement super ponctuel) je me dis que son "du coup je bouge" voulait dire qu'il est parti sans moi et qu'on se retrouvera au bar... 2e erreur...
Donc je me pointe à la distillerie vers 20h40, non pas sans être contente de m'appercevoir que non seulement je suis vraiment fashionably late (habituellement je suis juste late, sans le fashionably il va sans dire, mais que M. Kiff est aussi déjà arrivé. Pas besoin d'attendre seule à une table sans charmante compagnie). On aime.
Alors je me mets à parler avec M. Kiff, ça fait un bon 2 mois qu'on s'est pas vu. Parle de tout, job, blonde, job, amis, job, restos, job (on travaille dans le même domaine, alors veut veut pas on finit toujours par parler job nous deux). 30 minutes plus tard, toujours pas de nouvelle de M. Frite et M. Champion. Texte M. Champion, tout en me disant que M. Frite est sûrement mort dans un banc de neige à l'heure ou on se parle (la Belgique est pas super tolérante au froid québécois, c'est son premier hiver à Montréal). Donc continue de jaser, puis reçois un texte de M. Champion qui vient d'arriver pis qui doit se taper le line-up dehors (il est passé 21h15, donc le line-up est commencé). Reçois ensuite un texte de M. Eiffel qui me dit qu'il viendra peut-être plus tard...
Sors dehors, va fumer une cigarette tout en parlant avec M. Champion, en 10 minutes il avance pas d'un poil. Rentre en dedans, essaie de demander au charmant doorMan s'il ne peut pas laisser entrer mon ami (tout en lui montrant mon fameux décolleté qui a fait ma réputation partout ou j'ai passé ces 5 dernières années) mais aucune chance. Politique de la place, pas plus de 56 personnes dans le bar... Me dis que mon décolleté ne m'est d'aucune utilité ce soir... Rentre en dedans, parle parle, jase jase, fais le tour de mes photos sur mon cell avec M. Kiff, lui raconte (presque) 3 fois ma vie dans le détail, rendu 21h45 reçois un mail de M. Frite qui me dit qu'il est passé chez moi mais qu'il n'y avait pas de lumière. Reçoit un texte de M. Champion qui me dit qu'il va aller au ciné parce que ça avance pas. Lui répond que c'est correct, que je vais partir en même temps que M. Kiff à 22h00, pas pour rester là toute seule. Rendu à l'heure fatitique qu'est 22h00, je cale mon restant de pot masson, met mon manteau et sors avec M. Kiff. Qui c'est qui es-tu pas le prochain à rentrer dans le bar quand on sort tous les deux ? M. CHAMPION !
Ben là, on sort... Dis bye bye à M. Kiff, marche jusqu'à Berri-UQAM avec M. Champion, jase avec lui un brin, pis décide de prendre le métro jusque chez M. Eiffel... 3e erreur.
Pogne une de ces %$#@$?& d'envies de pisser (gros pot Masson oblige)... Dis bye bye à M. Champion, change de ligne de métro, me rends jusque chez M. Eiffel... L'intercom ne fonctionne ÉVIDEMMENT PAS, décide de lancer des balles de neige dans la fenêtre de M. Eiffel... un bon 2 minutes et demie, le temps que par hasard, un gentil locataire vienne rentrer chez lui. Me faufile derrière lui, va cogner chez M. Eiffel... pas de réponse. Cogne un bon 3 minutes, abandonne, puis repars pour le métro à pied (pas question de rechanger de ligne) vers chez moi avec ma toujours aussi &%$@%#? de #%?#@& d'envie de pisser. Envoie un mail à M. Frite pour lui demander mais ou est donc l'Europe en ce jeudi soir. Arrive à ma station (il est rendu 23h45 avec tout ça), marche jusque chez moi, reçois un mail de M. Frite qui me dit que l'Europe (juste lui ou lui et M. Eiffel ça l'histoire le dit pas) est bien au chaud chez lui.
Ah ben criss...
Résultat de la soirée :
A vu M. Kiff
A manqué M. Champion (a eu le temps de lui parler un gros 20 minutes, le temps qu'on se quitte à Jean Talon)
A manqué M. Frite
A manqué M. Eiffel
Bon, je parlais de "pathétique" moi à Noël...
Mais là, y'a toujours ben pathétique pis pathétique bâtard...
Be careful what you wish for...
jeudi 30 décembre 2010
lundi 27 décembre 2010
J'ai fait une gaffe...
Nature humaine : 1
M. Eiffel : 0
Mais là n'est pas ma gaffe. Ça, j'en avais besoin. Pour avancer. Pour boucler la boucle. J'avais envie de le revoir, et je ne le regrette pas. C'est drôle, mais je crois qu'au fond, ça m'a redonné l'impression d'avoir, pour une dernière fois, un certain contrôle sur ce qui nous est arrivé. Je lui ai expliqué que j'avais de la peine, 100 fois plus que ce que j'avais imaginé. Et que d'avoir autant de peine, deux fois en deux mois, c'était trop pour moi. Les sentiments, je gère pas. Alors ça, j'en avais personnellement besoin, pour me permettre de mettre mes sentiments de côté un peu. Parce que ça, je gère.
Mais ma gaffe...
Ce matin, en me réveillant chez M. Eiffel, j'ai été prendre ma douche avant lui. Quand j'ai eu fini de me préparer, j'ai vu qu'il s'était rendormi. Alors j'ai ramassé ma brosse à dents et mon peigne (les deux seules choses dans son appart qui évoquaient ma présence des dernières semaines) et je l'ai laissé dormir. Je suis partie, sans faire de bruit, sans au revoir... Je sais, c'est nul. Mais les au revoir... Je trouvais ça trop difficile. Je savais pas ce que j'aurais pu lui dire... On dit quoi dans ces cas la ?
Et là, il m'en veut. Honnêtement, en partant ce matin, je n'ai pas pensé que j'allais le blesser. En fait, je n'ai pas pensé à lui, même si j'aurais dû. Je suis partie pour moi, pour fuire.
Ça peut paraître égoïste, et ça l'est sans doute un peu. Mais en ce moment, je n'ai pas la force de m'occuper de lui. J'ai juste assez à m'occuper de moi...
Je me sens coupable, je m'en veux beaucoup.
C'est con, mais le fait de savoir qu'il m'en veut... autant ça me brise le coeur, mais je trouve ça presque plus facile...
Je me dis que si'il me déteste, j'aurai peut-être plus de facilité à passer à autre chose...
M. Eiffel : 0
Mais là n'est pas ma gaffe. Ça, j'en avais besoin. Pour avancer. Pour boucler la boucle. J'avais envie de le revoir, et je ne le regrette pas. C'est drôle, mais je crois qu'au fond, ça m'a redonné l'impression d'avoir, pour une dernière fois, un certain contrôle sur ce qui nous est arrivé. Je lui ai expliqué que j'avais de la peine, 100 fois plus que ce que j'avais imaginé. Et que d'avoir autant de peine, deux fois en deux mois, c'était trop pour moi. Les sentiments, je gère pas. Alors ça, j'en avais personnellement besoin, pour me permettre de mettre mes sentiments de côté un peu. Parce que ça, je gère.
Mais ma gaffe...
Ce matin, en me réveillant chez M. Eiffel, j'ai été prendre ma douche avant lui. Quand j'ai eu fini de me préparer, j'ai vu qu'il s'était rendormi. Alors j'ai ramassé ma brosse à dents et mon peigne (les deux seules choses dans son appart qui évoquaient ma présence des dernières semaines) et je l'ai laissé dormir. Je suis partie, sans faire de bruit, sans au revoir... Je sais, c'est nul. Mais les au revoir... Je trouvais ça trop difficile. Je savais pas ce que j'aurais pu lui dire... On dit quoi dans ces cas la ?
Et là, il m'en veut. Honnêtement, en partant ce matin, je n'ai pas pensé que j'allais le blesser. En fait, je n'ai pas pensé à lui, même si j'aurais dû. Je suis partie pour moi, pour fuire.
Ça peut paraître égoïste, et ça l'est sans doute un peu. Mais en ce moment, je n'ai pas la force de m'occuper de lui. J'ai juste assez à m'occuper de moi...
Je me sens coupable, je m'en veux beaucoup.
C'est con, mais le fait de savoir qu'il m'en veut... autant ça me brise le coeur, mais je trouve ça presque plus facile...
Je me dis que si'il me déteste, j'aurai peut-être plus de facilité à passer à autre chose...
samedi 25 décembre 2010
C'est plus Noël !
Comme dirait mon paternel : "Bonne affaire de faite, passons à autre chose !"
Et c'est justement ce que je me dis en ce moment.
Alors pour ceux et celles qui se le demandent, oui, je me suis faké une belle migraine pour éviter un beau party de Noël :)
Et c'était franchement ben correct de même, je ne le regrette pas une miette. Je me suis couchée en après-midi, attendu le temps de partir, pis dit à ma mère que je n'y allais pas. Ça a passé comme dans du beurre...
Ma soirée de Noël s'est résumé à me réveiller à 9h00 (avec une vraie migraine, karma's a bitch comme on dit...), puis j'ai regardé la télévision, me suis pris des restants de la veille dans le frigo que j'ai mangé devant la tv, j'ai été fumer dehors, ben tranquille, en écoutant mon ami Vincent Vallières... J'ai réfléchi un peu, mais pas trop, à ce que j'allais faire demain à mon retour à Montréal.
J'irai voir un ami demain après-midi, s'il est libre. Il avait acheté une bouteille de champagne pour ma fête, alors j'ai bien l'intention d'aller en profiter avec lui !
Puis je vais me faire belle (je vais même sortir mes deux amis DD pour l'occasion, tant qu'à y être) et aller voir M. Eiffel après. Pas pour le reconquiérir, mais pour l'écoeurer un peu, je l'avoue... Et puis j'ai envie de le voir, de lui donner son cadeau de Noël (que j'avais acheté avant qu'on commence à se voir officiellement), de manger avec lui, d'écouter un film ben tranquille devant la tv... c'est plus fort que moi. J'ai envie de voir s'il a raison, si on peut se voir sans que rien n'arrive entre nous deux. Moi j'ai des doutes, connaissant la nature humaine, mais bon, on verra bien.
Et puis, habituellement, j'suis une pro dans l'art de taire mes sentiments et de les enfouir là ou même moi j'ai de la difficulté à les retrouver, alors je vais m'y remettre. Ça va me faire franchement du bien.
Ma mère m'a demandé hier ce qu'elle devait me souhaiter pour la nouvelle année qui arrive. Sur le coup, j'ai dit "Une nouvelle job" et c'est tout. À ce propos, j'ai commencé à envoyer des CVs cette semaine. J'espère avoir des réponses ce printemps, si tout va bien. Mais vu que je n'ai pas beaucoup d'expérience, je ne me fais pas trop d'illusions.
L'année dernière, à pareille date, ce que je voulais, c'était une maison, et je n'aurais pas été contre l'idée d'avoir un enfant vers la fin de 2010, bien honnêtement. Mais bon. La vie en a décidé autrement, et c'est sans aucun doute mieux comme ça.
Mais cette année, en 2011, vite de même, ce que je veux...
- Une nouvelle job, à Montréal
- Aller travailler à Vancouver vers la fin de l'année
- Faire un roadtrip avec Miss P, comme on en parle depuis des mois
- Redevenir plus méfiante avec les hommes, remonter ma garde un peu
- Rencontrer quelqu'un quand je serai prête
On va commencer par ça, pis on verra bien après...
Et c'est justement ce que je me dis en ce moment.
Alors pour ceux et celles qui se le demandent, oui, je me suis faké une belle migraine pour éviter un beau party de Noël :)
Et c'était franchement ben correct de même, je ne le regrette pas une miette. Je me suis couchée en après-midi, attendu le temps de partir, pis dit à ma mère que je n'y allais pas. Ça a passé comme dans du beurre...
Ma soirée de Noël s'est résumé à me réveiller à 9h00 (avec une vraie migraine, karma's a bitch comme on dit...), puis j'ai regardé la télévision, me suis pris des restants de la veille dans le frigo que j'ai mangé devant la tv, j'ai été fumer dehors, ben tranquille, en écoutant mon ami Vincent Vallières... J'ai réfléchi un peu, mais pas trop, à ce que j'allais faire demain à mon retour à Montréal.
J'irai voir un ami demain après-midi, s'il est libre. Il avait acheté une bouteille de champagne pour ma fête, alors j'ai bien l'intention d'aller en profiter avec lui !
Puis je vais me faire belle (je vais même sortir mes deux amis DD pour l'occasion, tant qu'à y être) et aller voir M. Eiffel après. Pas pour le reconquiérir, mais pour l'écoeurer un peu, je l'avoue... Et puis j'ai envie de le voir, de lui donner son cadeau de Noël (que j'avais acheté avant qu'on commence à se voir officiellement), de manger avec lui, d'écouter un film ben tranquille devant la tv... c'est plus fort que moi. J'ai envie de voir s'il a raison, si on peut se voir sans que rien n'arrive entre nous deux. Moi j'ai des doutes, connaissant la nature humaine, mais bon, on verra bien.
Et puis, habituellement, j'suis une pro dans l'art de taire mes sentiments et de les enfouir là ou même moi j'ai de la difficulté à les retrouver, alors je vais m'y remettre. Ça va me faire franchement du bien.
Ma mère m'a demandé hier ce qu'elle devait me souhaiter pour la nouvelle année qui arrive. Sur le coup, j'ai dit "Une nouvelle job" et c'est tout. À ce propos, j'ai commencé à envoyer des CVs cette semaine. J'espère avoir des réponses ce printemps, si tout va bien. Mais vu que je n'ai pas beaucoup d'expérience, je ne me fais pas trop d'illusions.
L'année dernière, à pareille date, ce que je voulais, c'était une maison, et je n'aurais pas été contre l'idée d'avoir un enfant vers la fin de 2010, bien honnêtement. Mais bon. La vie en a décidé autrement, et c'est sans aucun doute mieux comme ça.
Mais cette année, en 2011, vite de même, ce que je veux...
- Une nouvelle job, à Montréal
- Aller travailler à Vancouver vers la fin de l'année
- Faire un roadtrip avec Miss P, comme on en parle depuis des mois
- Redevenir plus méfiante avec les hommes, remonter ma garde un peu
- Rencontrer quelqu'un quand je serai prête
On va commencer par ça, pis on verra bien après...
Cest Noël !
Mais pas dans ma tête en tout cas... J'ai jamais été aussi peu dans l'esprit des fêtes de toute ma vie...
J'ai commencé à acheter mes cadeaux la semaine dernière, pis j'ai même pas encore fini. En ce moment, c'est mon frère qui finit d'envelopper nos cadeaux pour nos parents. Pis pour que je le laisse envelopper... c'est que j'en ai VRAIMENT pas envie. Ça va être si laid comme emballage... pis j'men fou.
Habituellement, je suis comme un enfant à Noël. Je trippe ben raide, je veux faire des cadeaux, en avoir, j'ai presque du fun à aller à la messe. Mais cette année, j'en ai pas envie. J'ai pas envie de voir ma famille ce soir. J'vais avoir 3 sortes de messages :
1 - "T'as pas amené M. Geek ?"
"Euh non, moi et M. Geek on est plus ensemble"
(malaise)
2 - "J'ai su pour toi et M. Geek..." (face dépitée avec sourire qui est censé te remonter le moral)
"Merci. C'est ben plate, mais ça fait partie de la vie..."
(malaise)
3 - "Finalement pour toi pis l'autre que t'avais rencontré, t'avais pas envie de l'amener à soir ?"
"Ça a pas fonctionné nous deux finalement..."
(malaise)
Alors le verdict est tombé. M. Eiffel et moi c'est déjà fini. Bref, mais intense comme on dit. Je lui ai demandé si les problèmes qu'on avaient étaient trop pour lui, et que si c'était le cas, il devait partir tout de suite et pas attendre. Parce que si on attend, c'est souvent pire après. Alors il est parti. Et là je m'ennuie. Il me manque. C'est affreux se faire dire "T'es parfaite, mais..." "Je t'aime Puce, mais si on continue et que ça marche pas" "J'ai envie de te revoir, mais si tu préfères pas je comprends..." "Je sais pas si j'ai bien fait"...
Le FAMEUX "je sais pas si j'ai bien fait...". Osti que je suis plus capable de l'entendre celui là... Y'a tu quelqu'un, un jour, qui va être capable de prendre une décision PIS de l'assumer PIS d'être conséquent par rapport à celle-ci ? Fuck ! Je fais comment pour me détacher moi après ? On s'aime ! Il a envie de me voir ! On est bien ensemble ! Pis moi j'suis censée résister à mon envie de le voir ? J'suis désolée, mais en ce moment c'est trop pour moi. J'ai qu'une envie, aller dormir dans ses bras et espérer qu'il me dise qu'il s'est trompé...
Sinon, j'ai été dîner avec M. Geek. C'était honnêtement très bien. On a beaucoup jasé, il allait bien. Il a rencontré une fille, et j'en était sincèrement heuseuse. Je lui ai parlé de M. Eiffel, il m'a parlé d'elle. On était comme deux vieux amis qui allaient déjeuner. Je lui ai raconté nos problèmes, qu'il comprenait pour les avoir vécu avec moi. Je lui ai dit que j'avais commencé à fumer... On a prit de nos nouvelles, de celles de nos familles, on a rit, il n'y a pas eu beaucoup de silence... C'est bien fini nous deux, on est plus là... Il fera toujours un peu partie de ma vie... Il sera toujours mon premier amour... Mais maintenant, je parle de lui au passé...
Ce soir, j'ai pas envie d'avoir de fun. Pas envie de parler. Pas envie de trop manger. Pas envie de boire du vin. Pas envie de regarder les p'tits jouer. Pas envie de développer mon cadeau.
J'ai juste envie de retourner a Montréal dans mon appart, rien faire, boire de la bière, fumer, écouter du Vincent Vallières pis texter M. Eiffel pour lui dire qu'il me manque... Je sais, c'est pathétique. Mais cette année, à Noël, j'ai envie de faire de "pathétique" mon deuxième prénom...
Ça me fait chier mais j'ai vraiment beaucoup de peine.
Ça me fait chier mais j'ai vraiment trop de peine.
Ça me fait chier mais j'ai vraiment de la difficulté à cacher ma peine...
J'me fake tu une migraine à soir moi ? Si la tendance se maintient, j'pense ben que oui...
J'ai commencé à acheter mes cadeaux la semaine dernière, pis j'ai même pas encore fini. En ce moment, c'est mon frère qui finit d'envelopper nos cadeaux pour nos parents. Pis pour que je le laisse envelopper... c'est que j'en ai VRAIMENT pas envie. Ça va être si laid comme emballage... pis j'men fou.
Habituellement, je suis comme un enfant à Noël. Je trippe ben raide, je veux faire des cadeaux, en avoir, j'ai presque du fun à aller à la messe. Mais cette année, j'en ai pas envie. J'ai pas envie de voir ma famille ce soir. J'vais avoir 3 sortes de messages :
1 - "T'as pas amené M. Geek ?"
"Euh non, moi et M. Geek on est plus ensemble"
(malaise)
2 - "J'ai su pour toi et M. Geek..." (face dépitée avec sourire qui est censé te remonter le moral)
"Merci. C'est ben plate, mais ça fait partie de la vie..."
(malaise)
3 - "Finalement pour toi pis l'autre que t'avais rencontré, t'avais pas envie de l'amener à soir ?"
"Ça a pas fonctionné nous deux finalement..."
(malaise)
Alors le verdict est tombé. M. Eiffel et moi c'est déjà fini. Bref, mais intense comme on dit. Je lui ai demandé si les problèmes qu'on avaient étaient trop pour lui, et que si c'était le cas, il devait partir tout de suite et pas attendre. Parce que si on attend, c'est souvent pire après. Alors il est parti. Et là je m'ennuie. Il me manque. C'est affreux se faire dire "T'es parfaite, mais..." "Je t'aime Puce, mais si on continue et que ça marche pas" "J'ai envie de te revoir, mais si tu préfères pas je comprends..." "Je sais pas si j'ai bien fait"...
Le FAMEUX "je sais pas si j'ai bien fait...". Osti que je suis plus capable de l'entendre celui là... Y'a tu quelqu'un, un jour, qui va être capable de prendre une décision PIS de l'assumer PIS d'être conséquent par rapport à celle-ci ? Fuck ! Je fais comment pour me détacher moi après ? On s'aime ! Il a envie de me voir ! On est bien ensemble ! Pis moi j'suis censée résister à mon envie de le voir ? J'suis désolée, mais en ce moment c'est trop pour moi. J'ai qu'une envie, aller dormir dans ses bras et espérer qu'il me dise qu'il s'est trompé...
Sinon, j'ai été dîner avec M. Geek. C'était honnêtement très bien. On a beaucoup jasé, il allait bien. Il a rencontré une fille, et j'en était sincèrement heuseuse. Je lui ai parlé de M. Eiffel, il m'a parlé d'elle. On était comme deux vieux amis qui allaient déjeuner. Je lui ai raconté nos problèmes, qu'il comprenait pour les avoir vécu avec moi. Je lui ai dit que j'avais commencé à fumer... On a prit de nos nouvelles, de celles de nos familles, on a rit, il n'y a pas eu beaucoup de silence... C'est bien fini nous deux, on est plus là... Il fera toujours un peu partie de ma vie... Il sera toujours mon premier amour... Mais maintenant, je parle de lui au passé...
Ce soir, j'ai pas envie d'avoir de fun. Pas envie de parler. Pas envie de trop manger. Pas envie de boire du vin. Pas envie de regarder les p'tits jouer. Pas envie de développer mon cadeau.
J'ai juste envie de retourner a Montréal dans mon appart, rien faire, boire de la bière, fumer, écouter du Vincent Vallières pis texter M. Eiffel pour lui dire qu'il me manque... Je sais, c'est pathétique. Mais cette année, à Noël, j'ai envie de faire de "pathétique" mon deuxième prénom...
Ça me fait chier mais j'ai vraiment beaucoup de peine.
Ça me fait chier mais j'ai vraiment trop de peine.
Ça me fait chier mais j'ai vraiment de la difficulté à cacher ma peine...
J'me fake tu une migraine à soir moi ? Si la tendance se maintient, j'pense ben que oui...
mercredi 22 décembre 2010
Insomnie, quand tu nous tiens...
Ou plutôt : insomnie, quand tu ME tiens...
J'ai la tête trop pleine j'imagine...
Travail, Noël qui arrive, M. Eiffel en plus de tout ça...
Je suis stressée... et j'aime franchement pas ça. C'est pas moi ça.
Moi je suis censée être la fille qui garde toujours une certaine distance vis-à-vis des gens, par peur d'être déçue. Je suis celle qui fait son indépendante, qui fais sentir aux gens (à tort ou à raison, c'est selon) qu'elle n'a pas ABSOLUMENT besoin d'eux dans la vie. Je suis la fille qui sourit quand on lui demande comment elle va, même si ce n'est pas le cas. Je suis celle qui fait peu (voir pas) de compromis. Je suis celle qui n'est pas jalouse. Celle qui n'est pas angoissée. Celle qui dort comme une bûche le soir. Celle qui fuit. Celle qui a peur d'avoir mal.
Pas celle qui a accepté de se jeter tête baissée dans une relation en faisant confiance trop rapidement. Pas celle qui flanche en premier, qui vérifie son cellulaire toutes les heures pour voir si elle n'aurait pas manqué un message texte. Pas celle qui, même si elle sourit, a des yeux tristes. Pas celle qui fait des concessions pour l'autre. Pas celle qui doute, qui se demande pourquoi il n'a pas appelé. Pas celle qui est angoissée. Pas celle qui, à presque 5h du matin, ne dort pas encore. Pas celle qui refuse de baisser les bras, qui refuse de partir. Pas celle qui se dit que si elle continue comme ça, elle va avoir crissement plus mal que ce qu'elle avait prévu.
Cette fille-là, c'est pas censé être moi. Cette fille-là, j'en ris habituellement.
J'ai un mauvais feeling. J'ai l'impression que j'ai baissé ma garde trop rapidement.
Espérons que je me trompe...
J'ai la tête trop pleine j'imagine...
Travail, Noël qui arrive, M. Eiffel en plus de tout ça...
Je suis stressée... et j'aime franchement pas ça. C'est pas moi ça.
Moi je suis censée être la fille qui garde toujours une certaine distance vis-à-vis des gens, par peur d'être déçue. Je suis celle qui fait son indépendante, qui fais sentir aux gens (à tort ou à raison, c'est selon) qu'elle n'a pas ABSOLUMENT besoin d'eux dans la vie. Je suis la fille qui sourit quand on lui demande comment elle va, même si ce n'est pas le cas. Je suis celle qui fait peu (voir pas) de compromis. Je suis celle qui n'est pas jalouse. Celle qui n'est pas angoissée. Celle qui dort comme une bûche le soir. Celle qui fuit. Celle qui a peur d'avoir mal.
Pas celle qui a accepté de se jeter tête baissée dans une relation en faisant confiance trop rapidement. Pas celle qui flanche en premier, qui vérifie son cellulaire toutes les heures pour voir si elle n'aurait pas manqué un message texte. Pas celle qui, même si elle sourit, a des yeux tristes. Pas celle qui fait des concessions pour l'autre. Pas celle qui doute, qui se demande pourquoi il n'a pas appelé. Pas celle qui est angoissée. Pas celle qui, à presque 5h du matin, ne dort pas encore. Pas celle qui refuse de baisser les bras, qui refuse de partir. Pas celle qui se dit que si elle continue comme ça, elle va avoir crissement plus mal que ce qu'elle avait prévu.
Cette fille-là, c'est pas censé être moi. Cette fille-là, j'en ris habituellement.
J'ai un mauvais feeling. J'ai l'impression que j'ai baissé ma garde trop rapidement.
Espérons que je me trompe...
lundi 20 décembre 2010
L'épée
Dans mes 2 billets précédents j'ai mentionné avoir rencontré quelqu'un. Appelons le Monsieur Eiffel. Pourquoi ? Parce qu'il est français, et tout simplement parce que c'est le premier surnom qui me soit venu spontanément à l'esprit. Pour faire une histoire courte, on travaille au même endroit et on a des amis communs. Pour être bien honnête, je ne m'attendais pas à rencontrer quelqu'un aussi rapidement. C'était tout sauf prévu, et avec lui particulièrement encore moins.
Alors bref. Cette magnifique introduction n'étant pas là pour rien, continuons. Je disais donc. Depuis le début de ma (très) courte relation avec M. Eiffel (3 semaines gros max), pour pleins de raisons, j'ai l'espèce de sentiment que ça ne peut pas marcher nous deux.
Je suis bien avec lui, il me fait rire, sourire, il est attentionné... Il me fait énormément de bien. Mais j'ai la maudite impression, pour toutes sortes de raisons, qu'on vit sur du temps emprunté, que lorsqu'on dort la nuit, on a une espèce d'épée de damocles qui pend au dessus de nos têtes. Et ça, c'est pas cool.
J'ai honnêtement envie de voir si ça peut marcher nous deux, jusqu'ou ça pourrait aller. J'ai envie d'essayer, de faire attention à ne pas refaire les même erreurs que M. Geek et moi on a faites, de prendre soin de lui, de le laisser prendre soin de moi... Pour une fille qui voulait pas s'attacher, je me suis royalement fourrée. Pour une fille qui voulait rien de compliqué, eh ben je me suis tout autant fourvoyée, je sais...
Alors je fais quoi ? En fait, ON fait quoi ? On se dit bye tout de suite, et on attend que ça passe ? Ou on prend une chance, on continue de s'attacher encore plus, on espère de pas rentrer dans le mur trop rapidement pis on continue ?
Maudite épée à marde...
Alors bref. Cette magnifique introduction n'étant pas là pour rien, continuons. Je disais donc. Depuis le début de ma (très) courte relation avec M. Eiffel (3 semaines gros max), pour pleins de raisons, j'ai l'espèce de sentiment que ça ne peut pas marcher nous deux.
Je suis bien avec lui, il me fait rire, sourire, il est attentionné... Il me fait énormément de bien. Mais j'ai la maudite impression, pour toutes sortes de raisons, qu'on vit sur du temps emprunté, que lorsqu'on dort la nuit, on a une espèce d'épée de damocles qui pend au dessus de nos têtes. Et ça, c'est pas cool.
J'ai honnêtement envie de voir si ça peut marcher nous deux, jusqu'ou ça pourrait aller. J'ai envie d'essayer, de faire attention à ne pas refaire les même erreurs que M. Geek et moi on a faites, de prendre soin de lui, de le laisser prendre soin de moi... Pour une fille qui voulait pas s'attacher, je me suis royalement fourrée. Pour une fille qui voulait rien de compliqué, eh ben je me suis tout autant fourvoyée, je sais...
Alors je fais quoi ? En fait, ON fait quoi ? On se dit bye tout de suite, et on attend que ça passe ? Ou on prend une chance, on continue de s'attacher encore plus, on espère de pas rentrer dans le mur trop rapidement pis on continue ?
Maudite épée à marde...
jeudi 16 décembre 2010
Chanceuse
Cette semaine j'étais en train de fumer une cigarette dehors au travail et je pensais à ma vie. (Oui, j'ai commencé à fumer y'a environ 2 mois. Je sais, c'est nul commencer a fumer dans la vingtaine quand t'as jamais fumé une cigarette de ta vie. Si ma mère lisait ce blogue, enfin si ma mère savait ce qu'est un blogue, je dirais "Pardon Maman !!!" Le tout évidemment la tête baissee, mains dans le dos et pied qui gratte le sol...)
Enfin bref. Je me considerais chanceuse. J'ai vraiment une belle vie.
J'ai une famille extraordinaire. Des parents aimants, qui feraient n'importe quoi pour leurs enfants. L'incarnation même de l'amour inconditionnel que seul un parent peut donner à son enfant. J'ai un frère merveilleux, intelligent, qui a beaucoup à apporter à tous ceux qui l'entourent. J'ai deux grand-mères en or. Des supers cousins/cousines, oncles et tantes...
J'ai des supers amis. Des amis qui t'invitent à souper quand tu leur apprends que tu es séparée. Des amis qui ne te posent pas de questions, qui attendent que tu sois prête à en parler. Des amies qui ont des chums qui n'hésitent pas à me dire qu'eux aussi ils sont là pour moi eux aussi si jamais j'ai besoin. Des amis qui t'invitent à déjeuner comme ça, juste pour jaser. Et particulièrement ces temps-ci j'ai Miss P, qui m'as donné ce que peu de gens ont réussi à me donner dans toute ma vie : le goût de parler, de me questionner, de me remettre parfois en question. Avec elle j'ai gagné plus qu'une amie, c'est cliché, mais j'ai gagné une soeur.
J'ai un super travail. Jeune vingtaine, je gravis les échelons d'une entreprise super rapidement. Plein de responsabilités, des collègues qui viennent se confier quand ils ont besoin de parler et qu'ils ne savent pas à qui le faire...
J'ai un chez-moi, ce qui m'as le plus manqué dans la dernière année qui vient de passer.
J'ai des projets. Des rêves. Des buts.
Et puis nouvellement, j'ai un copain. Un homme qui me fait sourire à chaque fois que je le vois. Un homme qui me fait rire, qui me fait rougir quand il me dit qu'il me trouve belle... Un homme pour qui j'arrêterai de fumer 2 semaines plus tôt que prévu (Dieu que je pile sur mon orgueil pour ça, vous pouvez pas imaginer...) Un homme que, le moment venu, si jamais il vient, j'aurai envie de présenter à mes parents.
Non ma vie n'est pas parfaite. Mais moi non plus je ne le suis pas. Il y a des jours plus difficiles que d'autres. Des jours ou je suis triste. Des jours ou je suis en colère. Des jours ou j'ai peur. Des fois je me dis que les choses ne peuvent pas aussi bien aller tout le temps... En ce moment j'ai peur que ça me pète dans la face. Mais bon, que sera sera... Aussi bien arrêter d'y penser et d'en profiter un peu.
Mais en fumant ma cigarette, j'ai eu deux pensées :
Ma vie, aujourd'hui, je ne l'échangerais pas contre celle de personne.
Et j'espère sincèrement que M. Geek est aussi heureux que moi en ce moment...
Enfin bref. Je me considerais chanceuse. J'ai vraiment une belle vie.
J'ai une famille extraordinaire. Des parents aimants, qui feraient n'importe quoi pour leurs enfants. L'incarnation même de l'amour inconditionnel que seul un parent peut donner à son enfant. J'ai un frère merveilleux, intelligent, qui a beaucoup à apporter à tous ceux qui l'entourent. J'ai deux grand-mères en or. Des supers cousins/cousines, oncles et tantes...
J'ai des supers amis. Des amis qui t'invitent à souper quand tu leur apprends que tu es séparée. Des amis qui ne te posent pas de questions, qui attendent que tu sois prête à en parler. Des amies qui ont des chums qui n'hésitent pas à me dire qu'eux aussi ils sont là pour moi eux aussi si jamais j'ai besoin. Des amis qui t'invitent à déjeuner comme ça, juste pour jaser. Et particulièrement ces temps-ci j'ai Miss P, qui m'as donné ce que peu de gens ont réussi à me donner dans toute ma vie : le goût de parler, de me questionner, de me remettre parfois en question. Avec elle j'ai gagné plus qu'une amie, c'est cliché, mais j'ai gagné une soeur.
J'ai un super travail. Jeune vingtaine, je gravis les échelons d'une entreprise super rapidement. Plein de responsabilités, des collègues qui viennent se confier quand ils ont besoin de parler et qu'ils ne savent pas à qui le faire...
J'ai un chez-moi, ce qui m'as le plus manqué dans la dernière année qui vient de passer.
J'ai des projets. Des rêves. Des buts.
Et puis nouvellement, j'ai un copain. Un homme qui me fait sourire à chaque fois que je le vois. Un homme qui me fait rire, qui me fait rougir quand il me dit qu'il me trouve belle... Un homme pour qui j'arrêterai de fumer 2 semaines plus tôt que prévu (Dieu que je pile sur mon orgueil pour ça, vous pouvez pas imaginer...) Un homme que, le moment venu, si jamais il vient, j'aurai envie de présenter à mes parents.
Non ma vie n'est pas parfaite. Mais moi non plus je ne le suis pas. Il y a des jours plus difficiles que d'autres. Des jours ou je suis triste. Des jours ou je suis en colère. Des jours ou j'ai peur. Des fois je me dis que les choses ne peuvent pas aussi bien aller tout le temps... En ce moment j'ai peur que ça me pète dans la face. Mais bon, que sera sera... Aussi bien arrêter d'y penser et d'en profiter un peu.
Mais en fumant ma cigarette, j'ai eu deux pensées :
Ma vie, aujourd'hui, je ne l'échangerais pas contre celle de personne.
Et j'espère sincèrement que M. Geek est aussi heureux que moi en ce moment...
dimanche 5 décembre 2010
Aaaaaaaaaaaaaaahhhhhh
Question du jour : y'a une règle écrite quelque part qui mentionne combien de temps attendre après la fin d'une relation pour en débuter une autre ?
Parce qu'en ce moment... j'ai juste envie d'en profiter, et de laisser aller les choses pour voir comment ca va se passer.
Parce qu'en ce moment... j'ai juste envie d'en profiter, et de laisser aller les choses pour voir comment ca va se passer.
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