lundi 20 décembre 2010

L'épée

Dans mes 2 billets précédents j'ai mentionné avoir rencontré quelqu'un. Appelons le Monsieur Eiffel. Pourquoi ? Parce qu'il est français, et tout simplement parce que c'est le premier surnom qui me soit venu spontanément à l'esprit. Pour faire une histoire courte, on travaille au même endroit et on a des amis communs. Pour être bien honnête, je ne m'attendais pas à rencontrer quelqu'un aussi rapidement. C'était tout sauf prévu, et avec lui particulièrement encore moins.

Alors bref. Cette magnifique introduction n'étant pas là pour rien, continuons. Je disais donc. Depuis le début de ma (très) courte relation avec M. Eiffel (3 semaines gros max), pour pleins de raisons, j'ai l'espèce de sentiment que ça ne peut pas marcher nous deux.

Je suis bien avec lui, il me fait rire, sourire, il est attentionné... Il me fait énormément de bien. Mais j'ai la maudite impression, pour toutes sortes de raisons, qu'on vit sur du temps emprunté, que lorsqu'on dort la nuit, on a une espèce d'épée de damocles qui pend au dessus de nos têtes. Et ça, c'est pas cool.

J'ai honnêtement envie de voir si ça peut marcher nous deux, jusqu'ou ça pourrait aller. J'ai envie d'essayer, de faire attention à ne pas refaire les même erreurs que M. Geek et moi on a faites, de prendre soin de lui, de le laisser prendre soin de moi... Pour une fille qui voulait pas s'attacher, je me suis royalement fourrée. Pour une fille qui voulait rien de compliqué, eh ben je me suis tout autant fourvoyée, je sais...

Alors je fais quoi ? En fait, ON fait quoi ? On se dit bye tout de suite, et on attend que ça passe ? Ou on prend une chance, on continue de s'attacher encore plus, on espère de pas rentrer dans le mur trop rapidement pis on continue ?

Maudite épée à marde...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire